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La TV CayleBien











REdéménagement Wordpress>Blogspot. de bêts copier-coller au commencement.
La TV CayleBien
Bon Commençons par présenter la bête. Blog sur les séries pour les séries et surtout pour emmerder les peignes cul qui se croient aptes a pouvoir critiquer tout un univers dont ils ignorent même les origines. Je suis un drogué de TV depuis le berceau. C’est un avantage et un inconvénient ( socialement parlant ) pour ma pauvre personne délurée et complètement barré dans un monde fictionnel . Bref, un petit historique pour vous mettre dans le bain du merveilleux petit écran=> made in Wikipédia of course!

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Une série télé est une œuvre de fiction audiovisuelle, composée d’épisodes construits autour d’éléments communs (personnages, décors et/ou thèmes récurrents), conçue pour être diffusée à la télévision.
Les séries télévisées, diffusées par des centaines de chaînes à travers le monde, ont influencé les téléspectateurs sur plusieurs générations et ont profondément marqué leur culture. Au fil des ans, depuis l’origine de la télévision, de nombreux genres et formes ont été développés autour de ce principe : feuilleton, anthologie,sitcom, telenovela, soap…


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La série télévisée est le genre le mieux adapté à la télévision. Du point de vue technique d’abord, car les images ne sont pas recadrées, tronquées ou réduites pour tenir dans l’écran comme le sont souvent les films de cinéma : elles sont réalisées pour ce format ; mais aussi du point de vue narratif. La série offre un rendez-vous régulier (quotidien, hebdomadaire ou autre) de nature à fidéliser le public. La courte durée des épisodes de la plupart des séries (généralement inférieure à une heure, voire à une demi-heure, sauf pour certaines séries comme Le Dixième Royaume“, dont les épisodes durent environ une heure et demie) leur permet de s’harmoniser avec la vie quotidienne moderne

Le 10ème Royaume

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Au sens strict, la série télévisée est une fiction télévisuelle à épisodes, où chaque épisode est narrativement indépendant. Selon cette définition, la série s’oppose au feuilleton télévisé. En effet, dans le feuilleton il faut théoriquement suivre l’intégralité des épisodes, dans l’ordre chronologique, pour comprendre l’intrigue, chaque épisode étant la suite du précédent. En revanche, une série au sens strict est un ensemble d’histoires (épisodes) théoriquement indépendantes les unes des autres.

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Bien que de nombreux pays aient produit des séries, dont certaines de grande qualité, l’histoire des séries télévisées a été dominée principalement par trois pays : les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, aussi bien en quantité qu’en qualité.
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Des années 40 aux années 50 aux USA, la télévision joue surtout sur l’image et les trouvailles visuelles, et cherche à fidéliser le public avec des rendez-vous réguliers de variété ou de divertissement, voire culturels. L’arrivée de grands sponsors permet de produire des dramatiques, des histoires indépendantes, diffusées hebdomadairement sous un générique commun portant le nom du sponsor. On a appelé ceci des anthologies. Elles regroupaient les épisodes sous un même thème, parfois avec un présentateur commun, étaient la plupart du temps diffusées en direct depuis New York, étant tournées dans des conditions plus proches du théâtre que du cinéma.

I love Lucy

En 1951, Desi Arnaz et Lucille Ball créent la sitcom I love lucy. Ils tournent la série dans des conditions proches de celles du cinéma : à Hollywood, sur 35 mm, permettant la mise en scène et le montage. Cette nouvelle technique permet la rediffusion, auparavant difficilement possible, et donc l’amortissement des coûts de production ainsi que l’augmentation des budgets. Ceci entraine une délocalisation de la production de New York vers Hollywood, possédant de meilleures ressources techniques (studios, matériel…) et artistiques (vedettes, techniciens…).
Les premières séries télévisées américaines ont puisé leur inspiration dans des constantes de la culture américaine : le policier et le western. La télévision étant un média nouveau, il a été nécessaire de tout inventer et essayer, mais dans un contexte ou les impératifs économiques et moraux (l’Amérique puritaine et le code Hays[la censure]) bridaient les possibilités. Ceci, combiné aux influences de la radiophonie, du théâtre et du cinéma, a exacerbé la créativité des auteurs. Très vite sont apparus le fantastique et une manifestation précoce de Space opera à savoir Star Trek, l’espace étant un élément grandissant de la culture américaine avec la conquête spatiale. Le genre espionnage se développe aussi, en corrélation avec la guerre froide. La créativité des auteurs produit alors des séries hybrides : Les mystéres de l’oUest, qui mêle fantastique, espionnage, science-fiction et western, ou Des agents très spéciaux, qui mêle science-fiction futuriste et espionnage.

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Doctor Who


Au Royaume Uni, La BBC s’intéresse à la télévision dès 1929. Après quelques essais techniques, elle acquiert des studios en 1932. En 1936, le groupe diffuse déjà des programmes réguliers ; les diffusions utilisent d’abord en alternance les équipements de deux concurrents, Baird et Marconi EMI, puis par la suite uniquement ceux de Marconi, supérieurs techniquement. En 1939, 11 000 postes de télévision reçoivent les programmes, avant que la guerre n’éclate et que tout programme soit interrompu. Les diffusions reprennent en juin 1946 sur la seule BBC. Une loi sur l’ouverture de la télévision au privé passe en juillet 1954, et lance la création du Indépendant télévision authority(ITV). En juillet 1955 démarre la première série télévisée britannique : Dixon of dock green de Ted Willis sur la BBC. Ce n’est qu’en septembre 1955 que ITV commence à émettre, sous la forme de quinze compagnies locales de diffusion et de production, parmi lesquelles Associated Rediffusion (Londres & banlieue en semaine), ATV (Londres le week-end), Granada TV ( Angleterre nord-ouest en semaine), et d’autres, notamment pour l’Écosse et le Pays de Galles.
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En France, Les premières séries ont elles aussi puisé leur inspiration dans la culture historique (Maison RougeThierry la Fronde). Elles ont souvent été inspirées de romans-feuilletons:RocamboleVidocqJacquou le Croquant et bien sûr Belphégor, pour ne citer que les plus connues. La télévision française est également, dès l’origine, friande de séries policières: Les Cinq Dernières MinutesLes Enquêtes du Commissaire MaigretCommissaire MoulinLes Brigades du Tigre (cette dernière série mêlant intrigues policières et culture historique).

Jacou le croquant

Jusqu’au début des années 1980, la télévision française était un monopole d’État et subissait des contraintes extrêmement fortes (moyens financiers limités, autocensure), ce qui ne l’a pas empêché de produire parfois des séries iconoclastes comme Les Shadoks, créée en 1968. Selon certains observateurs, la fin du monopole a compromis la qualité des productions françaises. En effet, rares sont les séries françaises contemporaines accueillies favorablement par la critique.


Salut les muclés


Ainsi, dans les années 1990, la télévision française voit, avec AB Productions, l’arrivée de nombreuses sitcoms telles que Salut les MusclésPremiers Baisers ou Hélène et les Garçons qui subissent les foudres de la critique mais reçoivent les faveurs du jeune public. Si certaines séries françaises diffusées actuellement sont de grands succès en termes d’audimat (Plus belle la vie est suivie quotidiennement par 5 millions de téléspectateurs en moyenne), aucune d’entre elles n’a connu de succès d’estime comparable à celui de leurs cousines américaines. Des séries françaises comme Section de recherches ou L’Hôpital reposent sur des intrigues inspirées des séries américaines à succès, mais sont comparées négativement à leurs modèles (respectivement Les Experts et Grey’s Anatomy) et n’ont pas eu l’audience escomptée.

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La créativité des auteurs de séries étant visiblement sans limite, la typologie par format ou par genre ne peut se faire qu’a posteriori, à la lecture de l’histoire des séries télévisées et de l’analyse des différentes œuvres. Depuis plusieurs années, on constate une évolution considérable dans le domaine des séries, en particulier des séries américaines.

Buffy contre les vampires


Si la cible publicitaire préférée des séries était autrefois la « ménagère de moins de 50 ans », elle est aujourd’hui beaucoup plus variée. Il existe désormais des séries pour adolescents ou jeunes adultes (Beverly Hills 90210Buffy contre les vampiresCharmedSmallville Gilmore GirlsLes frères ScottGrey’s Anatomy, ou déjà dans les années 1980 : 21 Jump Street), des séries pour adultes, parfois très crues (Sex and the CityNip/TuckThe Shield), et des séries plus ou moins familiales (Sept à la maisonFriendsStargate SG-1Lost.les disparus).


21 jump street


Une série comme Nip/Tuck, qui aborde sans détour des sujets tabous comme le sexe ou la drogue et met en scène avec réalisme et crudité des opérations de chirurgie esthétique, montre à quel point la liberté de ton s’est développée dans le genre.


Nip/Tuck
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Les Frenchis pas content=>
En France, les séries ont longtemps été dénigrées par la critique. Elles étaient considérées à la fois comme un sous-genre parce que perçues comme du divertissement, notion souvent accompagnée en France d’une connotation péjorative, et comme une forme d’américanisme envahissant. Les critiques de l’époque assimilaient toutes les séries anglo-saxonnes à des séries américaines et assimilaient toutes les séries américaines aux soap operas, en particulier à Dallas, feuilleton à succès auquel on reprochait de vanter le mode de vie américain dans ce qu’il a de pire, avec une histoire qui aurait pu être racontée en beaucoup moins d’épisodes. Dallas était considéré alors comme l’archétype à la fois de la série télévisée et du feuilleton médiocre.


Grey's Anatomy


La situation a changée lorsque une grande chaîne hertzienne, en l’occurrence Fr 2, a diffusé en “prime time” Urgences ( vive la référence -_-’ ), série-feuilleton plébiscitée à la fois par le public et par la critique. Le genre a finalement été reconnu comme une forme artistique à part entière et a donné lieu a des articles et à des analyses sérieuses dans la presse non spécialisée. Les critiques de séries télévisées ont pu être reconnus et avoir la parole sans être mis en recul. Les ouvrages spécialisés ont alors pu être publiés sans avoir à se justifier.

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-=Voili Voilou, après un bref Historique Mi moi, mi wikipédien => je vous invite a suivre l’évolution de ce blog très Show=-

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